lexique franco-anglais
Publié : sam. 03 janv. 2004, 23:12
Ou : ça veut dire quoi tous ces mots bizarres?
Le bourdon de base ou vibration de base (anglais : basic drone)
Il est obtenu en faisant vibrer les lèvres avec un débit d'air moyen; le bois vibre entre les mains
Les harmoniques (anglais overtones littéralement "tons au dessus" d'où la confusion fréquente avec la survibration)
Tout instrument émet en même temps que la note de base d'autres notes plus élevées, les harmoniques. Ce sont elles qui font la richesse du son. Dans le cas du didgeridoo, on peut sélectionner certaines harmoniques en changeant la forme intérieure de la bouche, par exemple en faisant des OU- I.
La résistance de la colonne d'air (anglais : backpressure ou BP, littéralement «pression de retour »)
c'est la résistance créée par l'air en vibration, qui s'oppose au souffle.
Sous et sur-pression (anglais ?)
La sous-pression s'obtient en diminuant la pression de l'air par rapport au bourdon de base. Pour cela on peut écarter les mâchoires, desserrer un peu les lèvres, alléger la pression des lèvres sur l'embouchure et /ou gonfler les joues. En sous pression on peut descendre deux voire trois notes en dessous de la note de base.
La surpression s'obtient en faisant l'inverse. On reste en surpression tant que le bois vibre à une fréquence proche du bourdon de base et que l'on peut revenir au bourdon de base sans rupture de ton. On peut monter d'à peu près un-demi ton en surpression
Les survibrations (anglais hoot, littéralement «mugissement » ou « coup de klaxon »)
En augmentant la pression du souffle et en pinçant les lèvres, comme dans une trompette, on obtiens d'autres notes du didgeridoo. Le bois vibre différemment par rapport à la vibration de base : la vibration plus rapide et généralement moins ample. La première survibration est à peu près deux tons au dessus de la vibration de base, mais sa hauteur exacte dépend du didgeridoo. La deuxième est à peu près à l'octave, les autres encore plus haut.
La survibration «pépin» s'obtient en faisant le geste de cracher un pépin de fruit : la langue libère brusquement l'air. C'est une forme assez facile à maîtriser et à insérer dans le jeu.
la vibration de base étant la plus basse que peut donner le didgeridoo, il n'existe pas de sous-vibration.
Les vocalisations et les cris
On peut chanter ou crier en même temps que l'on souffle....
le OUF (anglais gut slap, littéralement claquement des tripes)
s'obtient en donnant un coup énergique avec le diaphragme et l'abdomen sur les poumons, pour expulser énergiquement l'air; en interrompant en même temps la vibration du didgeridoo.
Le WOUAH (anglais ?)
S'obtient en expulsant énergiquement l'air des joues auparavant gonflées.
Le rétroflex (anglais ?)
s'obtient en repoussant l'air avec la pointe de la langue au palais.
Le bourdon de base ou vibration de base (anglais : basic drone)
Il est obtenu en faisant vibrer les lèvres avec un débit d'air moyen; le bois vibre entre les mains
Les harmoniques (anglais overtones littéralement "tons au dessus" d'où la confusion fréquente avec la survibration)
Tout instrument émet en même temps que la note de base d'autres notes plus élevées, les harmoniques. Ce sont elles qui font la richesse du son. Dans le cas du didgeridoo, on peut sélectionner certaines harmoniques en changeant la forme intérieure de la bouche, par exemple en faisant des OU- I.
La résistance de la colonne d'air (anglais : backpressure ou BP, littéralement «pression de retour »)
c'est la résistance créée par l'air en vibration, qui s'oppose au souffle.
Sous et sur-pression (anglais ?)
La sous-pression s'obtient en diminuant la pression de l'air par rapport au bourdon de base. Pour cela on peut écarter les mâchoires, desserrer un peu les lèvres, alléger la pression des lèvres sur l'embouchure et /ou gonfler les joues. En sous pression on peut descendre deux voire trois notes en dessous de la note de base.
La surpression s'obtient en faisant l'inverse. On reste en surpression tant que le bois vibre à une fréquence proche du bourdon de base et que l'on peut revenir au bourdon de base sans rupture de ton. On peut monter d'à peu près un-demi ton en surpression
Les survibrations (anglais hoot, littéralement «mugissement » ou « coup de klaxon »)
En augmentant la pression du souffle et en pinçant les lèvres, comme dans une trompette, on obtiens d'autres notes du didgeridoo. Le bois vibre différemment par rapport à la vibration de base : la vibration plus rapide et généralement moins ample. La première survibration est à peu près deux tons au dessus de la vibration de base, mais sa hauteur exacte dépend du didgeridoo. La deuxième est à peu près à l'octave, les autres encore plus haut.
La survibration «pépin» s'obtient en faisant le geste de cracher un pépin de fruit : la langue libère brusquement l'air. C'est une forme assez facile à maîtriser et à insérer dans le jeu.
la vibration de base étant la plus basse que peut donner le didgeridoo, il n'existe pas de sous-vibration.
Les vocalisations et les cris
On peut chanter ou crier en même temps que l'on souffle....
le OUF (anglais gut slap, littéralement claquement des tripes)
s'obtient en donnant un coup énergique avec le diaphragme et l'abdomen sur les poumons, pour expulser énergiquement l'air; en interrompant en même temps la vibration du didgeridoo.
Le WOUAH (anglais ?)
S'obtient en expulsant énergiquement l'air des joues auparavant gonflées.
Le rétroflex (anglais ?)
s'obtient en repoussant l'air avec la pointe de la langue au palais.