tiens j'étais passé à côté de ce poste là.
Je possède les deux types, comme dit choukroute rien à voir entre les deux.
Sur la guimbarde chinoise les différentes notes te permettent de jouer un mélodie tandis que tu utilise le souffle pour donner une rythmique secondaire (la première étant celle des frappes). Ici le principe des plusieurs lames est vraiment de créer des mélodies.
La double morchang les deux lames sont très légèrement désaccordées de manière à produire une interférence (le fameux son qui monte et qui descend). Tu peux ajuster les notes de manière à allonger ou raccourcir cette en ajoutant un peu de cire sur le bout des languettes, et également obtenir des effets bien barrés avec le souffle.
Pour le reste les techniques sont les mêmes que sur une mochang classique, sauf que le tempo est obligatoirement calé sur la fréquence de l'interférence si tu veux obtenir quelques chose d'harmonieux

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